Avez-vous eu l’occasion de visiter un zoo ? Ou avez-vous un animal de compagnie ?

Vous avez certainement remarqué que les animaux développent des pathologies au fil des années et meurent souvent.
A l’inverse, ces mêmes animaux, laissés dans leur milieu naturel, meurent d’une belle vieillesse si leur prédateur ou l’homme n’intervient pas.

Pour quelle raison ?

En captivité ou dans nos maisons, l’animal dépend de l’homme pour se nourrir. Dans son milieu naturel, c’est l’animal qui choisit la nourriture qui lui convient le mieux.

Comment détermine-t-on en biologie la nourriture idéale pour un être vivant ?
Par l’observation.
Alors, pour l’être vivant que nous sommes, quelle est la nourriture idéale ?
L’observation de l’ensemble de notre système digestif indique que nous sommes des végétariens à tendance fruitière. Nous verrons plus loin ce que cela signifie.

En effet, selon l’observation, notre système digestif est identique à 99% à celui du grand singe.
Ainsi, si l’on suit la logique de l’observation biologique, il serait indispensable de rechercher en détail ce que mange ce type d’être vivant qui, à l’état sauvage, vit en pleine santé.

Voyons quels sont les aliments réellement bénéfiques pour notre organisme.

Lorsque nous portons un aliment à notre bouche, un processus de digestion s’enclenche immédiatement.
Prenons l’exemple d’un morceau de pomme.
Il sera d’abord mâché par nos dents et mélangé à notre salive.
Ensuite, la bouillie obtenue est rapidement mélangée à nos sucs gastriques et arrive rapidement dans notre intestin, qui se charge de découper les éléments non encore découpés à l’aide d’enzymes spécifiques.
Ainsi, de ce qui reste de notre morceau de pomme, les éléments nutritifs seront extraits et réduits en particules microscopiques grâce à un processus chimique.
Celles-ci passeront dans le sang à travers la paroi intestinale pour atteindre les cellules.
Une fois qu’elles ont atteint la membrane cellulaire, elles sont transportées à l’intérieur de la cellule pour fournir à cette extraordinaire machinerie qu’est la cellule tous les nutriments nécessaires à sa vie et à son fonctionnement.
Alors, en fin de compte, qui nourrissons-nous vraiment lorsque nous mangeons ?
Nos cellules, n’est-ce pas ?

Pour de nombreuses personnes, manger signifie éliminer la sensation de faim.
L’essentiel est donc d’avaler des aliments qui sont agréables au palais et qui donnent la sensation d’être rassasié.

Mais … comme nous l’avons vu, tout ce que nous appelons nourriture n’est pas bon pour notre corps.
De plus, lorsque nous mangeons, il est essentiel de penser que ce sont nos cellules que nous nourrissons. Elles ne pourront donc pas remplir pleinement ou suffisamment leur rôle pour nous apporter l’énergie dont nous avons besoin pour vivre en bonne santé.
L’industrialisation de l’alimentation nous a éloignés des repas de nos ancêtres.

Les aliments transformés chimiquement et dénaturés par toutes sortes de cuissons et de traitements ne peuvent plus remplir leur rôle.
Oui, ils ne contiennent tout simplement plus les éléments essentiels à la vie des cellules qu’ils sont censés nourrir.

Il est donc possible, oui, de manger ce que l’on veut. Mais cela ne veut pas dire que l’on va trouver dans les aliments que l’on consomme ce qui va permettre à notre corps de fonctionner correctement.

Que faut-il donc manger pour que nos cellules soient nourries ?
Voyons d’abord si bien manger signifie « adieu » aux bonnes choses agréables au palais ?

Honnêtement… les aliments que vous aimez et dont vous avez peur de vous priver en mangeant mieux, quels sont-ils ?
Faites-en la liste…
Maintenant, qu’avez-vous sur cette liste ? Des sucreries ? Des pâtisseries ? Des sodas ? Des pâtisseries ? De la viande ? Poisson ? Légumes ? Pâtes ou autres féculents ?

Beaucoup de ces aliments ont des équivalents plus naturels et tout aussi savoureux. La plupart de ceux qui vous rendent accros (si bons ! 😜) seront remplacés par des aliments de qualité préparés avec amour.

On ne change pas son alimentation du jour au lendemain – ou complètement – juste en réalisant que l’on n’apporte pas à son corps les nutriments dont il a besoin.
Cela prend du temps. Il est essentiel d’intégrer profondément les raisons pour lesquelles on veut changer et de se donner les moyens de le faire.

Manger est le premier réflexe d’un nouveau-né en bonne santé. Immédiatement après la naissance, c’est sa première préoccupation. Grâce à cet acte, il gère le traumatisme que représente, dans la plupart des cas, une naissance totalement antiphysiologique.
Il se réfugie donc immédiatement dans la nourriture.

Ce réflexe de vouloir manger – téter – immédiatement n’est pas mauvais en soi. Il est naturel.
C’est le contexte dans lequel il se produit qui donne au futur adulte le signal qu’« après l’épreuve, il y a la nourriture pour se réconforter ».
Nous en avons presque tous fait l’expérience. C’est pourquoi nous avons presque tous le même réflexe : je ne vais pas bien. Je tourne en rond jusqu’à ce que je mange, ou parfois même je vais directement à la nourriture pour combler mon malaise.

Il serait donc tout à fait inapproprié de forcer notre corps à dire « au revoir » à ce qui lui procure du bien-être et du plaisir. La vie est déjà assez compliquée, n’est-ce pas ?

C’est pourquoi vous trouverez sur cette page quelques recettes sélectionnées parmi des centaines, voire des milliers (Internet en regorge !) qui feront vibrer vos papilles et vous permettront de profiter d’une alimentation saine.

Alors ….
…. Que faut-il manger et comment ?

C’est un peu la confusion, là, dans ton esprit, pas vrai ?

On a vu que l’on doit nourrir ses cellules mais que la nourriture à laquelle nous sommes habitués, souvent depuis petit, ce n’est pas ce qui les nourrit.

Comment s’y retrouver ?

Eh bien, si on désire déterminer quel est le régime alimentaire d’un être vivant, la méthode la répandue consiste à examiner un individu une fois mort et observer son système digestif.

Il existe 3 grand typses de systèmes digestifs:

– les carnivores

– les granivores

– les frugivores

Qu’en est-il de notre système digestif ?

Nous avons un système digestif qui est de type frugivore.

Si nous faisons une dissection de l’ abdomen d’un humain et de celui d’un grand singe, que nous les mettons côte à côté, nous ne trouvons aucune différence dans la nature des organes.

Comment cela peut-il nous indiquer ce que nous devons manger ?

Voyez plus loin notre encart « Notre système digestif est similaire à celui du grand singe »